Le Paris osé d’Alfred Jarry à La Closerie des Lilas
Habitué de la Closerie des Lilas, Alfred Jarry avait pour boisson favorite un mélange d’absinthe et de vinaigre, additionné d’une goutte d’encre de violette.
N’étant pas à une espièglerie près, il aimait à éprouver dans ce même café une technique de drague très personnelle : installé sur une banquette, il sortait soudain de sa poche un revolver et tirait à blanc dans un miroir avant de se tourner vers l’inconnue qui se trouvait à ses côtés en disant : « Madame, maintenant que la glace est rompue, nous pouvons parler. »
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